Elsa Lunghini (51 ans) refait sa vie avec un célèbre acteur français, Bixente Lizarazu effondré « c’est mon… »
le journal “Libération” accorde un portrait à l’actrice et chanteuse Elsa Lunghini. Cette dernière revient notamment sur son “coup de foudre” pour l’ancien footballeur, Bixente Lizarazu, rencontré aux “Enfoirés”.
Elsa Lunghini s’est confiée dans les pages de Libération ce vendredi 25 août. L’interprète indémodable de T’en va pas est notamment revenue sur son “coup de foudre” pour le footballeur Bixente Lizarazu, rencontré sur le plateau des Enfoirés en 1999. “Rencontrer Bixente là-bas, c’est vrai que c’était improbable. Surtout que le foot, ce n’est pas vraiment mon truc. Je ne savais absolument pas qui c’était quand il est arrivé”, avait-elle déclaré à Doolittle en 2015. Si elle a tout lâché pour vivre à l’étranger avec lui, Elsa n’a “jamais voulu être dépendante d’un homme”, a-t-elle rapporté à Libération.
Elsa Lunghini et Bixente Lizarazu ont vécu une belle histoire pendant sept ans avant d’annoncer leur rupture en 2006. “On est resté en contact. On a toujours envie de savoir comment on va l’un et l’autre, et ce sera comme ça tout le temps”, avait-elle indiqué à Gala. En effet, en plus d’avoir partagé sa vie, Bixente Lizarazu a participé à l’éducation de son fils Luigi, issu de son union avec le musicien Peter Kröner. “C’est quelqu’un qui a compté pour moi, je pense que ça a été réciproque, c’est un pan de ma vie extrêmement important, qui a duré sept ans, et j’aime les histoire quand elles finissent bien comme ça”, a-t-elle précisé. Aujourd’hui, chacun a refait se vie. Si de son côté, l’actrice d’Ici tout commence est mariée avec Aurélien Cheval, Bixente Lizarazu, lui, a eu une fille, née le 23 août 2008, avec la comédienne Claire Keim.
“Sa carrière, elle l’a passée à fermer leur claper à des hommes ‘très connus’…”
Toujours dans les pages de Libération, Elsa Lunghini est revenue sur son engagement politique, “profondément à gauche”, elle qui n’hésite pas à dire qu’elle vote France Insoumise. Egalement féministe, “elle ne comprend pas le déni total en France autour des violences sexuelles, ni qu’on veuille séparer l’homme de l’artiste ou qu’un Polanski réalise encore des films”, écrit notre consoeur de Libération, avant de poursuivre : “Sa carrière, elle l’a passée à fermer leur claper à des hommes ‘très connus, bien sous tous rapports, qui se permettaient des choses inacceptables”.