“Rillette”, le sanglier apprivoisé, obtient un sursis et peut rester auprès de celle qui l’a recueilli, par contre, quelques voisins ont posé une condition
La justice enjoint la propriétaire de la laie Rillette de la confier à une société de dressage d’animaux pour le cinéma : voici ce qu’elle est devenue
Le sort de Rillette, une laie autrefois menacée d’euthanasie, continue de susciter l’inquiétude et le débat à Chaource, dans l’Aube.
La procureure de la République de Troyes a récemment pris une décision qui marque un nouveau tournant dans…
Le sort de Rillette, une laie autrefois menacée d’euthanasie, continue de susciter l’inquiétude et le débat à Chaource, dans l’Aube.
La procureure de la République de Troyes a récemment pris une décision qui marque un nouveau tournant dans cette affaire complexe.
La procureure a envoyé une mise en demeure à Élodie, l’éleveuse de Rillette, le 27 décembre, lui demandant de remettre l’animal « dans de brefs délais » à une société spécialisée dans le dressage d’animaux pour le cinéma, gérée par Muriel Bec.
Cette entreprise, « Animal Contact », peut légalement accueillir cinq sangliers et a actuellement une place disponible pour Rillette.
Réactions et controverses
Élodie a vivement critiqué cette décision, la considérant comme une manoeuvre financière inacceptable. Elle a exprimé sa détermination à France 3, refusant de céder à ce qu’elle perçoit comme une pression injuste.
La procureure, dans son courrier, met en avant que Madame Bec est prête à accueillir l’animal en assurant des conditions de vie respectueuses et un maintien du contact avec les humains.